LE REJET DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE AU QUÉBEC (3 de 6)
Cette analyse, du sociologue Martin Meunier, décrit le déclin accéléré du catholicisme institutionnel au Québec, lié au vieillissement des communautés religieuses et à la raréfaction des vocations. La fin de ce catholicisme majoritaire s’accompagne de la disparition d’un vaste réseau d’œuvres sociales, mais ouvre aussi une période de transformation : un catholicisme désormais minoritaire, plus largement porté par les laïcs, inventant de nouvelles formes de vie ecclésiale et susceptible de s’affirmer autrement dans l’espace public et politique.
SYNTHÈSE

© Revue Sociologie Visuelle / n° 3, 2020-2026
Résumé
Au Québec, entre 2020 et 2040, le catholicisme institutionnel disparaîtra, devenant minoritaire, plus politique et moins culturel, désormais visible.
REQUIEM POUR UNE ÉGLISE

